Pierre-Olivier GUIGUES, fils d’Olivier déjà membre du TTT, adhére au TTT… Une histoire de famille.

Il a mis beaucoup moins de temps que Bertrand pour répondre au questionnaire.

De quoi mieux le découvrir :

Peux tu te présenter en quelques mots ?

Je suis charpentier de métier et par passion comme j’ai l’habitude de dire aux clients, j’aime mon travail et j’aime surtout vivre dehors. Qu’il neige, qu’il pleuve ou qu’il fasse -15°C, j’ai toujours l’impression d’être la personne la plus heureuse du monde. Je suis très simple d’esprit, mais j’ai un gros défaut, je vois trop souvent les choses du bon coté, ce qui me joue parfois quelques vilains tours, mais bon c’est la vie après tout. Bref, je suis toujours heureux.

Tu pratiques la course nature ou le trail depuis longtemps ?

Avant je courais de temps en temps histoire de sortir ou accompagner mon père dans ses sorties. Je ne sais vraiment pas ce qui m’a poussé à me mettre au trail. J’ai fait ma première course en juillet 2012 sur le 28 km du 1er Trail des passerelles du Monteynard.

Que représente le trail pour toi ?

Un moyen de s’évader, de rêver éveillé, de se sentir vivant.

Quels sont tes objectifs cette année ?

Je n’ai pas vraiment d’objectif proprement dit, mais plutôt une recherche de sensations toujours plus fortes, faire de meilleurs temps, être plus à l’aise sur certains terrains. Et peut être viser un 50 km.

A quelle épreuve rêves tu de participer ?

S’il y a une seule et unique épreuve à choisir c’est bien la « Mongolia sunrise to sunset ».

Ton meilleur souvenir de course nature ?

La fois où mon père m’a dit en rigolant : « tu enlèveras la boue de tes chaussures et de tes fringues avant que ta mère te voit, sinon ça va gueuler à la maison ! »

Où rêves tu de courir hors compétition ?

L’Himalaya c’est sympa pour des vacances, non ?! Toujours plus haut ça c’est certain.

En quelques mots, peux tu nous présenter un de tes spots d’entrainement ?

Il y a quelques semaines je suis revenu vivre au pied du Vercors à Saint-Quentin-sur-Isère, les premières monotraces sont à 2 foulées de la maison. Si j’ai besoin de me sentir un peu plus vivant il suffit de pousser un peu plus loin pour trouver les premières crêtes du Vercors et la dent de Moirans.
Avant ça, j’ai passé un peu plus de 2 ans en Haute-Savoie à Taninges exactement, et courir dans les pâturages pour s’entrainer ou dépasser les 3000 m d’altitude en courant avec des copains le week-end était un vrai bonheur.

Comment as tu découvert le TTT ?

Par mon père.

5 thoughts on “Pierre-Olivier GUIGUES adhére au TTT

  1. Un grand gaillard élevé au grand air et qui a la joie de vivre! Il pouvait finir qu’au TTT celui-la! Bienvenue!

  2. Au T.T.T. il y a des cousins , 2 paires de frères , au moins 2 couples (je ne compte pas les couples de garçons car Mick veut pas trop qu’on en parle …ça ne nous regarde pas!) , et maintenant un père et fils ; ça doit être super de partager cette passion !
    Vivement qu’on croise ta joie de vivre en vrai………………………………

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